jeudi 27 octobre 2011

4 défauts et un drôle de nom !

Me lancer dans la tenue d'un blog m'est apparu nécessaire. Presque indispensable.
Plusieurs raisons ont présidé à cette décision.


L'impatience (et quelque fois la colère) : de voir que des blocages primaires ralentissent encore le déploiement de la RSE dans beaucoup trop d'agences de com -mes clients-, j'ai donc eu envie de témoigner de ce que je vois et ce que je vis au quotidien. Témoigner, c'est prendre position. Un truc que j'aime bien !


L'orgueil : dans le hub "les consultants du développement durable" que j'anime sur Viadéo, il m'a souvent été demandé pourquoi je ne prenais pas position sur les articles, rendez-vous, informations que je citais. 
Me laisser croire que mon avis pouvais, peu ou prou, compter à fait mouche. Vous l'aurez voulu !


La vanité : il m'arrive de "blogger" sur d'autres sites amis. Je n'y retrouve pas toujours mon compte pour diverses raisons. Je vais donc ici cultiver l'illusion que je suis libre et apprécié pour ce que j'apporte.


La paresse : je ne m'impose aucune fréquence, aucune régularité. La pertinence ou l'impertinence seront mes seules motivations. Tant pis pour les principes éditoriaux avec lesquels je serine mes clients !


Voici donc au moins quatre défauts en guise de motivation. 
Ca commence bien !…




Pourquoi un nom aussi curieux ?
Le café du commerce est l'ancêtre du blog. En plus gouailleux, plus définitif, plus théâtral.
Au bord des zincs sont souvent assénées des vérités qui ont fait le bonheur de Jean Carmet. 
Et le nôtre.
Quand j'ai écrit Com & RSE, j'ai lu commerce. Le raccourcit était simple.
Et puis, quand on s'appelle Ouaïïe cici, on n'a plus peur de rien…